A propos de guerre et de crime. Nous, comme la plupart des humains, abhorrons la guerre et le crime. Les faiseurs de guerre et les criminels tolèrent la guerre et le crime pour être une fin qui justifie les moyens. Cependant, ils trouvent la guerre et le crime intolérables quand ils en sont les receveurs, plutôt que les donneurs. La guerre et le crime n'ont aucun rôle à jouer dans la culture du Service-Envers-Autrui. La guerre et le crime ont leurs victimes et leurs vainqueurs. Dans une culture du Service-Envers-Autrui, il n'y à que nous, que nous mêmes. Si l'un de nous est victime, nous sommes tous des victimes. Il n'y a donc aucune victime. La guerre et le crime sont fortement présentes dans la culture du Service-Envers-Soi. En fait, il s'agit d'un mode de vie pour toute entité appartenant à cette culture. Si les humains en sont au point, à cette densité, où ils doivent faire des choix, et se déterminer sur l'orientation à prendre, sur la route à suivre, nous, les Zêtas, avons déjà choisi. Les humains qui choisissent le Service-Envers-Autrui s'apercevront vite que les mots guerre et crime n'existent plus que dans leur dictionnaire. Les humains qui choisissent le Service-Envers-Soi s'apercevront que le guerre et le crime sont pour eux des obsessions permanentes.