Paris

Paris sera inondé lors du basculement, pour le malheur de ceux qui s’accrocheront à leur chère ville romantique dans l’espoir de survivre au basculement. La vague de fond en provenance de l’Atlantique, comme elle se retire d’abord de telle sorte que la terre qui borde l’Atlantique tombe à 300 mètres sous le niveau de la mer et puis qu’elle revient en force lors du basculement proprement dit, sera au delà de ce que l’on peut imaginer, si l’on pense en terme d’orages qui amèneraient des vagues sur le rivage et non en terme de catastrophe planétaire et d’une croûte qui bascule. La vague inondante lors du basculement se répandra tranquillement autour des bâtiments, au creux des routes et des rues, inondant les sous-sols jusqu’à ramollir le sol en dessous au point de faire chavirer les constructions, ou les faire sombrer, brisant les vitres en montant et inondant les étages inférieurs jusqu’à empêcher la fuite d’aucun côté si ce n’est par bateau et atteignant finalement les toits de sorte que les habitants affolés se capitonneront pour survivre . Puis la vague se retirera, retournant vers la mer, emportant avec elle tout ce dont elle se sera emparée. Les gens de France qui veulent survivre au basculement à venir doivent non seulement envisager de se trouver au delà de 650-700 pieds au dessus du niveau de la mer actuel pendant les deux années qui verront la fonte des pôles, mais d’être encore plus en hauteur pendant le basculement. Fuyez vers les Alpes, ou vers les montagnes de l’Espagne du Nord, et méfiez vous des raz de marée malgré tout.

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